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10 avr. 2019 5h19

Toulouse. Boutiques fermées, galeries vides : pourquoi des centres commerciaux se « cassent la figure »

Val Tolosa, le centre commercial illégal, inutile et imposé. Un projet mort-né avant d'avoir existé, démonstration dans l'article ci-joint:

 

A Toulouse et dans son agglo, des pôles commerciaux peinent à attirer du monde et se cassent la figure. Voici les raisons pour lesquelles cela ne marche pas...

  La galerie commerciale Les Maourines symbolise les centres commerciaux qui souffrent actuellement à Toulouse
La galerie commerciale Les Maourines symbolise les centres commerciaux qui souffrent actuellement à Toulouse (©Actu Toulouse/David Saint-Sernin)

Des boutiques fermées et des galeries commerciales désertes : c’est une réalité de 2019 à Toulouse où plusieurs centres commerciaux « se cassent la figure » alors qu’ils ont été lancés il y seulement quelques années, voire seulement quelques mois.

Ces opérations commerciales mal engagées sont actuellement symbolisées par le ratage du centre-commercial l’Hippodrome situé à La Cépière.

Seulement deux ans et demi après son inauguration, ce centre commercial est en très  grosse difficulté. Les enseignes « locomotives » ont déjà quitté le bateau qui tangue. Casino, la moyenne surface a fermé suivie par Décathlon ainsi que la salle de Gym qui s’était installée.

La suite: https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/toulouse-boutiques-fermees-galeries-vides-pourquoi-centres-commerciaux-se-cassent-figure_22824345.html/amp

8 avr. 2019 10h37

Revue de presse

Val Tolosa : le projet de centre commercial de l'Ouest toulousain au point mort

La justice a plusieurs fois remis en cause le volet environnemental du projet de centre commercial Val Tolosa. Mais le promoteur n'abandonne pas. Les opposants ont rencontré le préfet.

Le centre commercial Val Tolosa, un ensemble d'une centaine de boutiques, un hypermarché, un cinéma ou encore une crèche, sur le plateau de la Ménude à Plaisance-du-Touch, est au point mort depuis septembre 2018.

À cette date, le tribunal administratif de Toulouse, saisi par le collectif «Non à Val Tolosa», a annulé un arrêté préfectoral autorisant le constructeur, le promoteur Unibail Rodamco, à déplacer des espèces animales et végétales protégées. Cette décision est le dernier rebondissement en date d'un combat judiciaire qui dure depuis plus de 10 ans.

Ce mercredi 27 mars 2019, les opposants ont été reçus, à leur demande, par le préfet de Haute-Garonne. Ils souhaitaient connaître l'état d'esprit d'Etienne Guyot, nommé en octobre 2018, et qui découvre donc ce dossier épineux.

«Plusieurs décisions de justice ont été défavorables au projet, mais le promoteur n'a toujours pas annoncé la fin de son projet. Nous avons donc voulu demander au préfet si le promoteur n'était pas revenu à la charge, explique Pascal Barbier, coprésident de «Non à Val Tolosa». Le préfet nous a assuré qu'il n'y avait pas de nouvelle demande de dérogation à la destruction d'espèces protégées, faite par le promoteur. Il nous a également assuré que s'il y avait une nouvelle demande à l'avenir, il veillerait à ce qu'elle soit conforme aux décisions de justice.»

Une rencontre «positive» donc, pour le collectif, qui reste «mobilisé».

Le propriétaire des lieux, qui a déjà investi plusieurs dizaines de millions d'euros dans le projet, assure que le dossier n'est pas clos. «Nous travaillons avec la collectivité depuis le début des années 2000, rappelle Christophe Farbos, directeur des projets immobiliers France d'Unibail Rodamco. Nous avons pris acte des décisions de justice. Pour autant, le projet Val Tolosa est toujours sur la table. Nous attendons une décision importante : l'avis du Conseil d'Etat, qui doit se prononcer, au fond, sur la légalité du premier arrêté préfectoral de dérogation.»

Le Conseil d'Etat se prononcera sur la fameuse notion de «raison impérative d'intérêt public majeur», qui ralentit ou stoppe des projets de toutes sortes, partout en France. «Il va établir une jurisprudence sur cette notion, conclut Christophe Farbos. Ce qui définira assez précisément le devenir de nombreux dossiers en France.»

L'avis est attendu d'ici l'automne prochain. D'ici là, aucun engin de chantier ne devrait s'aventurer sur le plateau de la Ménude.

Source: https://www.ladepeche.fr/2019/03/29/val-tolosa-le-centre-commercial-au-point-mort,8098158.php


Val Tolosa : les opposants reçus au ministère de la transition écologique et à la préfecture

Les représentants du collectif « Non à Val Tolosa » ont successivement été reçus par le cabinet du ministre de la transition écologique et par les services du préfet de la Haute-Garonne. L’occasion de sonder leurs intentions et de maintenir la pression.

Val Tolosa
©DR

Les opposants au projet de centre commercial et de loisir Val Tolosa, prévu à Plaisance du Touch, ont remporté plusieurs batailles en 2018 mais n’ont pas encore gagné la guerre. Dernière victoire en date : l’annulation par le tribunal administratif de Toulouse, en septembre, de l’arrêté préfectoral de dérogation au déplacement d’espèces protégées. Une autorisation indispensable à l’exécution des travaux et qui pourrait, selon Pascal Barbier le coprésident du collectif Non à Val Tolosa, entraîner une annulation du permis de construire. Le jeudi 28 mars, le collectif a donc rencontré les services du nouveau préfet pour faire le point et s’enquérir de sa position sur le dossier.

« Nous souhaitions savoir si une demande récente de dérogation avait été déposée », explique le militant, qui s’inquiétait que le promoteur Unibail-Rodamco-Westfield profite du changement de préfet pour relancer la procédure. « Les services nous ont confirmé qu’il n’y avait pas eu de démarche engagée auprès de leur administration. Par ailleurs, ils nous ont garanti que l’État entérinerait et appliquerait les décisions de justice. Il n’y a donc pas de raison qu’ils accordent une dérogation qui a déjà été refusée par deux fois », analyse-t-il.

Pour lui, seuls un remaniement profond du projet et l’obtention d’un nouveau permis de construire pourraient désormais justifier l’aval des tribunaux. « Il n’y a officiellement pas d’intérêt public majeur reconnu pour ce projet, il est donc peu probable que la justice revienne là-dessus », argumente l’opposant.

« Nous avons pris acte de la décision du tribunal administratif. Cette dérogation avait pourtant été délivrée avec l’avis favorable de deux commissions nationales de protection de l’environnement, chacune composées d’éminents spécialistes », tient à préciser Christophe Farbos, directeur de projets immobiliers France chez Unibail-Rodamco-Westfield. Le promoteur n’envisage pas, pour le moment, de changer de stratégie ou de réviser son projet. « Nous avons fait appel et c’est désormais au juge du Conseil d’État de se prononcer. Nous attendons sa décision mais nous restons convaincus de la qualité et de l’intérêt de ce projet », ajoute-t-il.

 

Un moratoire et un observatoire du commerce

La veille, le collectif Non à Val Tolosa (membre de la fédération d’associations Des terres, pas d’hypers) avait également été reçu par le cabinet du ministre de la Transition écologique. Une démarche nationale qui dépasse l’enjeu du projet plaisançois.

« Nous avons demandé le lancement d’un moratoire sur les centres commerciaux. Aujourd’hui, nous n’avons plus l’utilité de tels équipements dans les périphéries. Chaque nouvelle installation se fait aux dépens d’espaces déjà existants. C’est du transfert économique, mais pas une véritable création de richesses. Nous avons également évoqué la possibilité de fonder un observatoire qui permette de recueillir des informations fiables sur la situation et les besoins du commerce. À l’heure actuelle, l’État ne dispose, pour les apprécier, que d’études réalisées par de grandes enseignes dans le cadre de leurs projets », synthétise Pascal Barbier.

Enfin, les militants du collectif réclament au président du Conseil départemental Georges Méric, la réouverture immédiate de la RD24, dont un tronçon a été fermé et cédé au promoteur. « Une aggravation insupportable des difficultés de circulation sur le plateau de la Ménude aux heures de pointe. »

source: https://www.lejournaltoulousain.fr/societe/val-tolosa-ministere-ecologie-prefecture-63158

13 sept. 2018 8h10

Mathilde de la Bétonnière

Une victoire qui a inspiré Mathilde de la Bétonnière, très active dans notre collectif depuis qu'elle a pris conscience des enjeux de notre combat. Elle ne se tient plus de joie et remercie chaleureusement tous les soutiens...

31 mai 2018 9h10

Communiqué du 31 mai 2018

Vite ! Un nouvel accord cadre pour Val Tolosa

Il est temps d'enterrer le dossier «Val Tolosa» et de remettre l'avenir du plateau de la Ménude entre des mains compétentes!

Le droit à l'environnement pour les citoyens est désormais pris en compte. Nous le constatons avec soulagement et satisfaction à travers les récentes décisions de justice, que ce soit par la plus haute instance, le Conseil d’Etat , en date du 25 mai dernier, ou celles précédemment prononcées par le Tribunal Administratif de Toulouse et la Cour d’Appel de Bordeaux.

Toutes vont dans le même sens. Aujourd’hui notre environnement, essentiel à notre survie sur cette planète, prime sur les intérêts purement financiers de quelques- uns. Leurs prétextes fallacieux de croissance et de développement économique n'auront bientôt plus cours.

Mais comment mettre en pratique?
Pouvons-nous encore nous fier aux services de l'Etat, à nos élus locaux et nationaux , aux promoteurs du projet ?

N'ayons pas peur de les citer :

  • le maire de Plaisance-du-Touch qui persiste à poursuivre son utopie mégalomaniaque d’un équipement commercial non seulement surdimensionné pour sa propre commune de 18.000 habitants, mais également superflu pour l’agglomération toulousaine déjà largement pourvue en m2 commerciaux.
  • le président du Conseil Départemental de Haute-Garonne qui se complaît dans la position d’un Ponce Pilate qui n’aurait rien pu faire d'autre que gérer un dossier épineux laissé en héritage par un prédécesseur mal inspiré. S'il avait seulement persévéré dans cette attitude de non-action, les tronçons des routes départementales RD82 et RD24, dans l’emprise du projet commercial n’auraient jamais été cédées pour 0 € en échange de l'hypothétique financement d’une nouvelle route RD 924. La générosité «désintéressée » du promoteur se fait toujours attendre...
  • le préfet qui a constamment fait preuve d’un soutien ouvert et appuyé au projet et à son promoteur. Sa haute fonction républicaine l'oblige à la neutralité et à l'impartialité. Son comportement dans le dossier "Val Tolosa" l'expose à des soupçons. Pour preuve : des arrêtés préfectoraux déclarés illégaux, un nouvel arrêté de destruction d’espèces protégées signé le lendemain même de l’annulation en appel de celui qu’il avait lui-même délivré précédemment !
  • les promoteurs qui se sont succédé et qui ont toujours su s’assurer auprès de nos gouvernants de leur bienveillant soutien afin de garantir la rentabilité de leurs projets immobiliers et financiers. Le dernier en date, Benjamin Griveaux, n’est autre que le porte-parole de l’actuel gouvernement et récemment encore, directeur de la communication d’Unibail-Rodamco, poids lourd du CAC 40 et promoteur du projet "Val Tolosa".

Le constat est sans appel: aucune des personnes citées ne peut se prévaloir de la légitimité nécessaire pour trouver une issue positive à ce feuilleton qui empoisonne la vie toulousaine depuis trop longtemps.

C’est pourquoi le collectif "Non à Val Tolosa" sollicite, solennellement, le président de la République, à l’instar de son prédécesseur, pour convoquer d’urgence une réunion à l’Elysée avec toutes les parties pour dénoncer l’accord cadre du 31 mars 2016, devenu caduc, et élaborer un nouvel accord qui imaginera une gestion intelligente du plateau de la Ménude prenant notamment en considération les arguments exprimés depuis 13 ans par les citoyens à travers notre collectif.

Nous pouvons également proposer une liste de personnes compétentes pouvant exercer utilement le rôle de médiateur.
En attendant une réponse, nous vous invitons à une manifestation conviviale et festive sur le plateau de la Ménude ce

SAMEDI 2 JUIN 2018 entre 10h - 14h00

Contact : Pascal Barbier co-président

14 mai 2018 6h50

Dans la dépêche du midi

Val Tolosa en compétition à Cannes ? Après 15 années d’épisodes à répétition, le public semble se lasser. Ne serait-il pas temps de proposer une nouvelle saison plus contemporaine ? Ou l’arrêt définitif d’une série polluée par l’ambition financière d’acteurs à bout de souffle ? Le béton ne fait plus recette, qu’on se le dise !

https://www.ladepeche.fr/article/2018/05/10/2794905-la-saga-val-tolosa-le-rappel-des-faits-marquants.html

 

D’après la mairie de Plaisance, le projet est toujours sur les rails ! Un jeu de mots fort à propos dans un contexte de grèves et de révoltes qui grondent. Humour ? Provocation ? La colère enfle et le printemps arable se prépare ! Rendez-vous le 2 juin pour fleurir l’avenir de la Ménude !

https://www.ladepeche.fr/article/2018/05/10/2794952-les-opposants-restent-mobilises.html

 

Val Tolosa reverdit sa vitrine. Un jardin pédagogique pour montrer aux enfants les espèces détruites par le promoteur, une crèche pour élevage intensif de futurs consommateurs, des associations pour pratiquer du sport et éliminer les conséquences d’une dining-experience dans un fast food… Ah, la communication quand tu nous tiens…

https://www.ladepeche.fr/article/2018/05/10/2795049-val-tolosa-a-nouveau-sur-la-sellette.html

7 mars 2018 12h04

Unibail-Rodamco, promoteur ou opposant aux centres commerciaux ?

Unibail, promoteur de Val Tolosa, combat le projet de centre commercial Europacity dans le triangle de Gonesse au nord de Paris.

Lors de la récente enquête publique réalisée pour la création de la Zone d'Aménagement Concertée (ZAC) de Gonesse, ZAC destinée à accueillir le centre commercial Europacity, au nord de Paris, il est intéressant de mentionner la contribution déposée par les présidents des commerçants des trois centres commerciaux d'O Parinor, Rosny2 et Aéroville.
Parmi les arguments exposés pour s'opposer à la création de la ZAC, nous relevons:

  • "l'arrêt de mort des commerces existants,
  • les centres commerciaux ne sont pas remplis et en saturation,
  • le projet Europacity capterait du chiffre d'affaires aux équipements existants,
  • un nouvel acteur détruirait le tissu économique existant et ses emplois pour créer de nouveaux
  • déserts urbains,
  • Europacity représente une menace cruciale pour l'emploi, mettrait en péril de nombreux emplois
  • existants. Ne pas se laisser envoûter par des promesses qui ne pourraient être tenues,
  • Europacity va saturer l'infrastructure autoroutière,
  • Europacity est un projet destructeur pour les terres agricoles, qui va à l'encontre des engagements de
  • la COP21."

Il y a fort à parier qu' Unibail-Rodamco, propriétaire du centre commercial Aéroville, a tenu la plume de ses commerçants-locataires.

Pour vous distraire tout en vous instruisant, remplacez, dans le texte ci-joint, "Europacity" par "Val Tolosa" et adaptez-le aux enseignes et données commerciales toulousaines. Vous retrouvez bien les mêmes arguments que ceux développés par notre collectif "Non à Val Tolosa" depuis plus de douze ans.

Unibail-Rodamco, promoteur ou opposant aux centres commerciaux ?
Schizophrénie commerciale ou l'art d'utiliser à Gonesse les arguments qui sont réfutés à Plaisance du Touch ...

PJ: Contribution des commerçants des trois centres commerciaux d'O Parinor, Rosny2 et Aéroville à l'enquête publique de la ZAC du Triangle de Gonesse.

 

26 févr. 2018 7h08

Toulouse: Qu’est-ce qui peut empêcher le méga centre commercial Val Tolosa de sortir de terre?

Le titre de l'article est une excellente question. Les réponses sont nombreuses... Il ne s'agit que de bon sens. A moins qu'une poignée d'élus ne lui préfère le sens des affaires....

https://www.20minutes.fr/toulouse/2224195-20180221-toulouse-peut-empecher-mega-centre-commercial-val-tolosa-sortir-terre

19 févr. 2018 8h19

Communiqué du 19 février 2018

La Fédération des Terres pas d'Hypers www.desterrespasdhypers.fr, dont notre collectif est membre fondateur, va rencontrer

mardi 20 février, à partir de 15h, un membre du cabinet de Nicolas Hulot, ministre de la Transition Écologique et Solidaire.

Le collectif Non à Val Tolosa sera représenté par Patrick Gaborit, co-président et Jutta Dumas, porte-parole.

Nous allons rappeler la situation et l'évolution du projet Val Tolosa, mais également solliciter une prise de position claire et cohérente avec les récents engagements du gouvernement en matières environnementale, urbaine et commerciale. Dans les faits, nous constatons de flagrantes contradictions  notamment  le développement débridé des implantations commerciales, l'augmentation considérable du  trafic routier et de la pollution atmosphérique qui en résultent ainsi que les atteintes à la biodiversité et  à la préservation des espaces naturels et agricoles.

Ci-joint le communiqué de notre Fédération.

1 févr. 2018 9h56

NON à Val Tolosa soutient la pétition : Stop à la bétonisation !

Dans le contexte actuel des inondations qui touchent de nombreuses communes de France, l'Association Agir pour l'Environnement a lancé une pétition  demandant un moratoire sur la construction ou l'extension de nouvelles zones commerciales en périphérie urbaine.

Elle fait écho à celle que nous avions lancée, dans un cadre plus restreint, avec la Fédération “des Terres pas d’Hypers” dont notre collectif est un membre fondateur.
(http://desterrespasdhypers.fr/index.php/enjeux/des-terres/)

Ayant depuis longtemps mis en avant les problèmes d'artificialisation des sols dans le projet Val Tolosa, le collectif Non à Val Tolosa s'associe à cette campagne et vous propose de signer cette pétition :
https://laissebeton.agirpourlenvironnement.org/
 
Cordialement,
Le bureau

3 janv. 2018 6h42

Communiqué du 2 janvier 2018

Les promoteurs de Val Tolosa reçoivent de la justice leur sixième carton rouge

Après l'arrêté préfectoral de destruction d'espèces protégées, annulé 2 fois, après le projet de multiplexe cinématographique annulé par la CNAC, après le référé de juillet dernier qui suspendait les travaux, la justice a sanctionné une seconde fois le permis de construire du centre commercial Val Tolosa délivré le 10 septembre 2009.


En effet, ce permis de construire, avait été annulé par la cour d'appel administrative de Bordeaux, le 14 juin 2016 et le jugement a été confirmé en cassation par le conseil d'Etat, le 28 décembre 2017.
La justice a le mérite d'être constante et claire dans les décisions rendues.


Unibail-Rodamco, promoteur de Val Tolosa, et leurs indéfectibles alliés sont, à nouveau, renvoyés dans leurs 22 mètres et reçoivent leur sixième carton rouge.


Tout chef d’entreprise et élu responsable, voire tout simple citoyen, auraient renoncé depuis longtemps ou auraient été sommés d'abandonner.
Il n'en est rien. Notre duo, entêté, est bien décidé à bétonner le plateau de la Ménude et à nous imposer ce projet inutile. En prévision de ces annulations, un nouveau permis, copié-collé du précédent, avait été délivré le 5 août 2016. Nouveau permis tout aussi fragile et encore plus entaché d'irrégularités...


Y aura-t-il un ministre, un préfet pour siffler, avec les juges, la fin de la partie ?
Nous restons donc mobilisés et vigilants pour contrer les provocations et les mises devant le fait accompli que nous subissons depuis des années. Nous réagirons à toute nouvelle apparition d'engins et installations de chantier sur le plateau de la Ménude.

A lire dans les médias:

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