Depuis le 3 octobre des citoyens, révoltés par le démarrage du chantier et les destructions irréversibles qui en découlent alors même que le Tribunal doit bientôt se prononcer sur l'autorisation délivrée par le Préfet, s'opposent pacifiquement à l'avancée des travaux.
8 oct. 2016 8h50