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1 févr. 2018 9h56

NON à Val Tolosa soutient la pétition : Stop à la bétonisation !

Dans le contexte actuel des inondations qui touchent de nombreuses communes de France, l'Association Agir pour l'Environnement a lancé une pétition  demandant un moratoire sur la construction ou l'extension de nouvelles zones commerciales en périphérie urbaine.

Elle fait écho à celle que nous avions lancée, dans un cadre plus restreint, avec la Fédération “des Terres pas d’Hypers” dont notre collectif est un membre fondateur.
(http://desterrespasdhypers.fr/index.php/enjeux/des-terres/)

Ayant depuis longtemps mis en avant les problèmes d'artificialisation des sols dans le projet Val Tolosa, le collectif Non à Val Tolosa s'associe à cette campagne et vous propose de signer cette pétition :
https://laissebeton.agirpourlenvironnement.org/
 
Cordialement,
Le bureau

10 nov. 2017 10h52

Pétition Ecran 7

Signez la nouvelle pétition en soutien au cinéma Ecran 7!

La pétition est disponible ici. En pièce jointe, un courrier que vous pouvez envoyer à la présidente du CNC pour que Ecran7 puisse projeter de nouveau des films.

Merci pour votre soutien.
 

26 sept. 2017 8h45

[PETITION] Les hypers, c'est pas super !!! #EuropaCity ? Ni ici, ni ailleurs !

Voir la version en ligne
 
URGENT - Stop au centre commercial #EuropaCity à Gonesse ou ailleurs !!!
 
PETITION - Stoppons l'artificalisation des terres agricoles. Stoppons EUROPACITY !
 
 
 Cher-e-s ami-e-s,
 
Toutes les 10 minutes, en France, un hectare de terre agricole disparait. Tous les six ans, c'est l'équivalent d'un département qui est englouti sous le bitume ! Loin d'être pris en compte, ce processus s'accélère. Pendant que les terres agricoles sont artificialisées, les centres villes se désertifient !
 
Un projet de centre commercial s'apprète à être bâti au cœur du « Triangle de Gonesse », dans le Val d’Oise. Ce nouveau projet se présente comme « le plus grand centre commercial et de loisirs du monde ». Quatre-vingts hectares de terres cultivées dans une zone déjà ultra-urbanisée sont désormais sous la menace d’un projet qui donne le tournis : 230.000 m2 de surface commerciale pour 500 boutiques, 20.000 m2 de restaurants, 50.000 m2 d’activités "culturelles", 20.000 m2 d’espace de congrès, 2.700 chambres d’hôtel, 150.000 m2 de loisirs, dont un parc aquatique climatisé et une piste de ski « indoor »...
 
En tout, ce sont 300 hectares qui sont concernés, puisqu’en plus de la zone commerciale, seront érigés un « quartier d’affaires » et un « parc créatif » avec leur cortège de parkings, de nouvelles routes d’accès, donc d’encombrements et de pollution …
 
 Alors que l'enquête publique vient de rendre un avis négatif, le groupe Auchan, promoteur du projet, persiste dans l'erreur ! Sa filiale, Immochan, doit renoncer à ce projet pharaonique et destructeur de terre agricole de haute valeur agronomique !
 
 
NOS « TERRES RARES » SONT… AGRICOLES ! IL FAUT LES PROTÉGER !!!
 
Les conséquences de l’artificialisation des terres agricoles sont multiples : perte nette des capacités de production alimentaire et donc dépendance accrue aux importations ; pressions majeures sur l’environnement ; quasi-disparition de la population paysanne…
 
Parmi les bétonneurs en chef, la grande distribution remporte et de loin la palme d’or de l’artificialisation intensive. En Europe, la France détient un triste monopole avec 740 zones commerciales disséminées sur son territoire, soit 2.000 hypermarchés construits sur 8 millions d’hectares de terres anciennement agricoles.
Rien qu’en Ile-de-France, en 2015, on dénombrait 153 centres commerciaux, la plupart bâtis au détriment des terres arables.
 
Au milieu de ces serial-bétonneurs, l’un se distingue particulièrement : Auchan et sa filiale immobilière Immochan. Un groupe propriété de la famille Mulliez, laquelle possède sur le territoire national 126 hypermarchés et gère 367 centres commerciaux, lesquels sont peuplés d’enseignes détenues par l’Association Familiale Mulliez (AFM), à l’image de Leroy Merlin, Décathlon, Boulanger, Alinéa, Saint Maclou, Kiabi….
 
Depuis 1967 et la construction de leur premier hypermarché à Roncq dans le Nord, les Mulliez urbanisent morceau après morceau les sols, pour toujours mieux garnir, brique après brique, leur portefeuille. Car la fortune de la famille Mulliez, qui détient la première place dans le classement des familles les plus riches de France avec un capital estimé à 40,6 milliards d’euros, se fait sur le dos des terres agricoles.
 
Multipliant les acquisitions foncières, Auchan poursuit sa prédation des sols fertiles, comme dans les Hautes Pyrénées avec le projet d’implantation sur 60 hectares d’un hypermarché sur les communes de Soues et de Séméac.
 
Chaque année, ce sont près de 2 millions de m² de surfaces commerciales qui sont autorisées en France. A Gonesse comme ailleurs, les projets de nouveaux centres commerciaux sont inutiles. Ils provoquent une artificalisation des terres agricoles et une désertification des centres urbains.
 
 

 

 
 
Ne doutez jamais qu'un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c'est toujours comme cela que ça s'est passé. - Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.
 
Stéphen, Martin, Benjamin, Magali, Mathias, Stéfanie, Antoine et toute l'équipe d'Agir pour l'Environnement.
--
http://www.agirpourlenvironnement.org
http://www.facebook.com/association.agirpourlenvironnement
http://www.twitter.com/APEnvironnement
 

29 juil. 2017 8h05

Communiqué du 29 juillet 2017 - Val Tolosa reçoit de la justice son cinquième carton rouge

Nous avons appris, avec satisfaction et soulagement, le jugement en référé prononcé, en notre faveur, par le tribunal administratif de Toulouse. Lors de l’audience du vendredi 28 juillet, notre avocate Me Alice Terrasse a défendu, avec brio, nos arguments. Plaidaient également les avocats du promoteur Unibail-Rodamco, du maire de Plaisance-du-Touch, du préfet et de la DREAL.
Nous avons ainsi obtenu la suspension immédiate de l’arrêté préfectoral du 12 juillet 2017 autorisant la destruction et le déplacement d’espèces protégées sur le plateau de la Ménude, étapes préalables au démarrage des travaux annoncés pour septembre 2017.

Selon les termes du jugement, cette suspension est maintenue jusqu’au jugement, sur le fond, du recours que nous avons déposé contre l’arrêté en question.
Il est particulièrement important de mentionner la complicité et la tentative de passage en force du préfet de région, contournant deux décisions de justice annulant l’arrêté précédent et signant un nouvel arrêté la veille de la délibération du jugement défavorable à l'arrêté précédent.

La juge des référés n'a pas été dupe et n'a pas apprécié la manœuvre. Ce désaveu de la justice vis à vis du représentant régional de l’Etat confirme nos doutes quant à l’impartialité de ce haut fonctionnaire. Nous n’avons pas oublié les paroles méprisantes et déterminées prononcées, en son nom, lors de notre entrevue en préfecture le 17 décembre dernier. "Une stricte neutralité des services de l'Etat et le respect des décisions de justice" nous avait-on affirmé solennellement. Nous venions justement alerter le préfet sur le fait qu’un
nouvel arrêté, pour le même objet, serait illégal.

La participation active de nos adhérents, des citoyens et des médias dans cette période particulièrement éprouvante et intense, a été décisive. Ils ont soutenu et fait connaître notre combat pour obtenir l’abandon définitif de ce projet inutile que l’on veut nous imposer coûte que coûte. Leur mobilisation et leurs contributions ont été déterminantes dans la victoire que nous venons de remporter.

Cette victoire ne reste malheureusement qu’une étape dans notre lutte pour le respect du droit et des aspirations des citoyens.
Nous restons mobilisés et vigilants tant que l’ensemble des engins et installations de chantier n'auront pas disparu du plateau de la Ménude. Pendant la période de suspension de l’arrêté préfectoral, notre vigilance reste la seule garantie pour contrer les provocations et les mises devant le fait accompli que nous subissons depuis des années.

Nous exigeons le retrait immédiat de l'arrêté préfectoral du 12 juillet 2017.

Nous continuons également à faire démontrer par la justice que, comme le premier, le second permis de construire est illégal et non conforme aux orientations d’aménagement de l’aire urbaine toulousaine.
Nous répondrons présents à tous les rendez-vous que nous imposeront le promoteur et ses alliés, le maire et le préfet.

 

25 juil. 2017 8h43

Communiqué du 25 juillet 2017

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Val Tolosa: appel urgent au ministre Nicolas Hulot

Nous demandons l’intervention du Ministre Nicolas Hulot auprès du préfet de Région pour la suspension immédiate de tous travaux et l’évacuation de tout engin et matériel de chantier sur le plateau de la Ménude. Ceci au moins en attendant l’audience du référé auprès du Tribunal Administratif de Toulouse, saisi par France Nature Environnement Midi-Pyrénées et notre collectif pour cette procédure
d’urgence.

En attendant cette décision, le Collectif continuera de s'interposer en bloquant les accès au chantier pour éviter le passage en force décidé d’une façon irresponsable par le promoteur Unibail-Rodamco. Celui-ci sait pertinemment que la justice nous a donné raison à 4 reprises en un an et pourtant il fait preuve de l' arrogance de celui qui se sent proche du pouvoir et se croit ainsi exonéré de tout respect de la Loi.
Les milliards d’une multinationale du CAC 40 auront-ils raison des lois de la République?


Contacts:
Hervé HOURCADE – 07.86.52.30.92 - Directeur adjoint de FNE Midi-Pyrénées - herve.hourcade@fne-midipyrenees.fr
Pascal BARBIER – 06.67.81.14.35 – Co-président du collectif « Non à Val Tolosa » - barbier.pascal@free.fr

 

22 juil. 2017 6h03

Communiqué de presse - Manifestation de soutien à Ecran 7

Aujourd’hui samedi 22 juillet 2017 près de 500 citoyens, jeunes et anciens, de tous horizons, ont marché à travers la ville de Plaisance pour protester contre le dessaisissement de l’association Ecran7.

Cette décision du maire, contrairement à ce qu’il affirme, est une réaction au recours que cette association a gagné contre l’autorisation de multiplexe de cinéma à Val Tolosa.

Le collectif « Non à Val Tolosa » est évidemment solidaire du désastre social que vit aujourd’hui l’association et ses cinq salariés. Il est particulièrement inadmissible pour un élu responsable de sacrifier l’un des fleurons de la culture locale au profit d’intérêt privés d’un groupe privé qui n’hésitera pas à pratiquer des tarifs exorbitants.

Le succès de cette manifestation nous conforte dans la certitude qu’une majorité de la population souhaite un autre mode de consommation que les méga centre commerciaux.

Nous souhaitons tout le succès possible aux membres de l’association Ecran 7 et à ses salariés dans leurs combats contre cette décision injuste.

Contact presse : Pascal Barbier – 06 67 81 14 35

25 avr. 2017 6h26

A Toulouse, l’opposition au centre commercial Val Tolosa ne désarme pas

Près de Toulouse, le projet de centre commercial Val Tolosa est à l’arrêt depuis des décisions de justice défavorables. Pourtant, la route menant au site en projet est en pleine construction. Les opposants imaginent de nouveaux moyens de protestation.

Lisez la suite de l'article sur le site de reporterre: https://reporterre.net/A-Toulouse-l-opposition-au-centre-commercial-Val-Tolosa-ne-desarme-pas

11 mars 2017 10h22

Soirée théâtrale au profit du collectif «Non à Val Tolosa»

La soirée théâtrale de soutien au collectif « Non à Val Tolosa » a accueilli 150 personnes dans la salle Boris Vian.

Après la marche nuptiale en cortège jusqu'à Toulouse en décembre, la soirée au cinéma Utopia avec le film «La cigale, le corbeau et les poulets» en janvier et le 2 mars dans la salle Boris Vian de la Salvetat St Gilles la pièce de théâtre «Petits secrets de la vie ordinaire» le collectif citoyen «Non à Val Tolosa» continue à rassembler les différents acteurs de la lutte contre ce projet.

Une pièce écrite pour l'occasion

Ces membres souhaitent ainsi, comme le précise le coprésident Thomas Penel, «étendre le réseau pour faire connaître au plus grand nombre ce dossier et faire réfléchir à ce que l'on veut pour demain».

Dans la salle pour assister au spectacle environ 150 personnes, parmi eux des élus, le maire de la Salvetat François Arderiu dont «la ville est concernée par le projet» et constate que «de plus en plus d'habitants commencent à se mobiliser» Pour Patrick Jiména, conseiller communautaire à Toulouse Métropole, Europe Ecologie-Les Verts (EELV) «le changement de modèle est un enjeu majeur pour notre avenir et merci au collectif de faire ce travail militant» Au cours du spectacle le public a ri, applaudi et chanté avec les comédiens un chant, tout comme la pièce, écrite spécialement pour l'occasion. La troupe «Pour écrire un mot» a laissé la totalité de la recette au collectif.

Les spectateurs ont eu du mal à quitter les lieux, les discutions allèrent bon train autour de boissons chaudes et pâtisseries. Jutta Dumas, membre du collectif, lance un appel «le collectif est ouvert à de telles initiatives, conviviales qui rassemblent autour d'événements festifs, toutes les initiatives sont les bienvenues».

Source: La dépêche

1 janv. 2017 1h17

Rétrospective 2016

En ce début d'année, il est bon de faire une rétrospective de l'année écoulée...

Lire la suite...

29 déc. 2016 6h05

NON à Val Tolosa en Conseil d'Etat

Bonjour,

CE MESSAGE EST TRES IMPORTANT POUR L'AVENIR DE NOTRE COLLECTIF, merci de prendre 30 secondes pour le lire.

Comme nous le craignions, le Conseil d'État a accepté la demande d'Unibail de juger l'annulation du permis de construire par le tribunal de Bordeaux.
Cette décision a deux conséquences importantes :

  • Si nous perdons (ou si nous ne donnons pas suite) il n'y aura plus d'obstacle majeur à la construction.
  • Si nous poursuivons, nous devons engager un avocat spécialisé qui nous coûtera très cher. 

C'est dans cette perspective que nous avions lancé, il y a un mois, une campagne de souscription. Elle avance, nous avons collecté à ce jour  le tiers des sommes nécessaires aux actions en justice. Une grande partie du parcours reste donc à faire.

 Je vous relance donc pour participer et surtout relayer ce message autour de vous.

http://soutien.gardaremlamenude.com

Je vous rappelle que si vous faites un don avant le 31 décembre, vous aurez la possibilité de déduire de vos impôts deux tiers de la somme.
En clair, si vous êtes imposable, pour 300 euros donnés à l'association, 200 vous seront restitués par le fisc.

Merci de votre aide et passez de très bonnes fêtes.

Pascal BARBIER
co-président du collectif

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