22 août 2024 10h40
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22 mai 2024 10h33
Val Tolosa :Le projet du mega-centre commercial à Plaisance-du-Touch ….
21 sept. 2021 10h51
ALERTE : ENQUÊTE PUBLIQUE
ALERTE : ENQUETE PUBLIQUE
Projet AMPERE – Plateau la Ménude
Date limite le 30 septembre
Nous avons probablement empêché le projet de centre commercial. Mais la bête n’a pas dit son dernier mot. Juste à côté, un nouveau projet d’artificialisation et de construction de hangars voit le jour. C’est probablement le premier d’une série qui vise à bétonner tout le plateau (70ha d’espaces naturels).
C’est le même promoteur (FTO) que pour Val Tolosa.
Une enquête est en cours et vous pouvez contribuer pour donner votre avis.
C’est très simple
Comment ?
Par mail : urbanisme@plaisancedutouch.fr
Sur place : vous pouvez consulter le dossier à la mairie (il est également accessible en ligne sur le site de la mairie dans la rubrique actualités)
Par courrier : Madame Claudette GROLLEAU, 1 rue Maubec BP12 31830 PLAISANCE-DU-TOUCH
Dans tous les cas, il est important de commencer votre contribution par « je suis contre ce projet … » et n’hésitez pas à nous mettre en copie de votre contribution.
Les arguments :
Pour vous aider, nous vous proposons quelques arguments. A vous ensuite de rédiger un texte plus personnel. Il n’est pas nécessaire d’écrire des romans. Quelques phrases suffisent.
1/ La première prescription du SCoT est la réduction de la consommation d’espaces naturels et agricoles : 79ha / an autorisés, environ 100ha consommés chaque année en réalité, 83,4ha rien que pour Plaisance (un des plus gros consommateurs) sur les 10 dernières années.
2/ La loi « Climat et résilience » instaure le principe de « Zéro artificialisation nette ».
3/ La métropole Toulousaine aura besoin d’espaces agricoles pour relocaliser son alimentation
4/ La rue servirait de déviation à la RD24 fermée : un détour de 1,66km au lieu de 1,1km soit une augmentation de la pollution atmosphérique (et sonore pour les riverains)
5/ Rien que ces constructions produiraient 35.000 tonnes de CO2 (source ADEME)
6/ Le projet ne prévoit pas de production d’énergies renouvelables (obligatoires selon la loi)
7/ Le projet ne prescrit pas de performance énergétique des bâtiments
8/ Le terrain est traversé par un corridor écologique inscrit dans le SCoT et faisant partie de la ceinture verte et bleue de l’aire Toulousaine.
9/ Le terrain abrite de nombreuses espèces protégées dont le trèfle écailleux, la cisticole des joncs, la renoncule à feuille d’ophioglosse et le rosier de France.
10/ Augmentation de trafic automobile : 5000 véhicules en plus par jour selon le promoteur.
11/ Le risque inondation augmente chaque année. Le projet ne prévoit pas d’aménagements suffisants pour lutter contre ces désordres (le bassin de rétention est sous-dimensionné).
12/ La nappe phréatique est à faible profondeur à cet endroit. La construction des parkings, notamment pour camions, créera une pollution directe d’hydrocarbures dans cette nappe (également pendant les phases de travaux : pollution béton et matériaux de construction).
13/ Pas de transports en commun, à part la ligne 55, peu fréquente et à plus de 10 minutes à pied du lotissement.
14/ Pas d’accès cyclable au projet depuis Plaisance ou depuis la gare de Colomiers
15/ Le secteur Ménude/Pahin/Perget comporte de nombreux bâtiments industriels déjà construits et toujours vacant : quantité bien suffisante pour accueillir toutes les entreprises prévues sur Ampère.
16/ La ville de Plaisance a besoin d’autres types d’industrie que les hangars de logistique qui dégradent l’environnement naturel sans apporter d’emplois de qualité et en quantité.
17/ Ce type d’entreprise utilise beaucoup de parkings qui sont désertés la nuit et baignés de lumière artificielle.
18/ Ces entreprises vont accroître le nombre de camions qui traversent Plaisance chaque jour.
Pour en savoir plus :
Le dossier sur le site de la mairie de Plaisance :
Contactez le collectif : contact@gardaremlamenude.com
17 janv. 2020 10h53
Rétrospective de 15 ans de lutte
Pour un historique complet: https://gardaremlamenude.com/blog/pages/historique
6 déc. 2018 8h09
Communiqué de presse du 6 décembre 2018
Rendez-nous le tronçon de la route départementale RD24 sur le plateau de la Ménude!
Depuis l’arrêt des travaux préparatoires au méga-centre commercial Val Tolosa sur le plateau de la Ménude, une blessure, conséquence des tentatives de passage en force du promoteur et du maire de Plaisance reste non pas grande ouverte, mais bien fermée : le tronçon de la RD24 ou route de Pibrac.
La RD24 a été mise en sens unique en 2012 et fermée définitivement en 2016. Les conséquences, pour les automobilistes et cyclistes de l’ouest toulousain, sont au quotidien une aggravation inutile de la situation déjà bien compliquée sur le secteur: interminables bouchons aux heures de pointe, détour obligatoire par la zone industrielle d’en Jacca de Colomiers, la rue Pierre et Marie Curie à Plaisance, la rue du Taure à La Salvetat.
Pourquoi cette situation?
Le projet d’un méga centre commercial à la Ménude avait intégré dès sa conception la cession de ce tronçon par le Conseil Départemental de Haute-Garonne. Un engagement irresponsable que l’ancien président Pierre Izard avait fini par regretter, bloquant le dossier de cession pendant sa mandature. Son successeur Georges Méric avait également fait comprendre que ce projet ne correspondait plus aux attentes et exigences de notre époque. Néanmoins, les fortes pressions imposées par le promoteur Unibail-Rodamco ont abouti à la convocation des élus locaux à l’Elysée. La multinationale du CAC 40 était bien le vrai maître du dossier et tordait le bras à notre élu départemental.
Un constat qui apparaît encore plus cruel dans le contexte actuel : ce même président du département sollicite maintenant notre soutien contre la menace d’une métropolisation du département après avoir gravement failli au moment décisif à la défense de nos intérêts communs.
Aujourd’hui le projet de Val Tolosa est moribond et plus rien ne devrait empêcher la réouverture rapide et à moindre frais de la RD 24.
Voilà une bonne occasion pour Georges Méric de peser de tout son poids et imposer le bon sens !
- Notre pétition en ligne, demandant la réouverture de la RD24, <
http://rendeznouslard24.wesign.it/fr,
a déjà recueilli plus de 500 signatures en quelques jours. Elle sera prochainement remise au maire de Plaisance et au président du Conseil Départemental 31. - Une manifestation festive et revendicative est prévue ce:
SAMEDI 8 décembre 2018 à 9h30
13 sept. 2018 8h10
Mathilde de la Bétonnière
Une victoire qui a inspiré Mathilde de la Bétonnière, très active dans notre collectif depuis qu'elle a pris conscience des enjeux de notre combat. Elle ne se tient plus de joie et remercie chaleureusement tous les soutiens...
27 avr. 2018 5h40
Printemps arable sur le plateau de la Ménude, pour la reconquête du site et l'enterrement du centre commercial Val Tolosa
Le collectif Non à Val Tolosa vous invite à participer au «Printemps Arable». Retenez la date du:
samedi 02 juin, de 10 heures à 14 heures.
Certains comptent offrir sur un plateau quelques dizaines d’hectares au promoteur ! Nous, on préfère se réapproprier le plateau de la Ménude. Venez nombreux y jeter des bombes à graines et ensemble semons un avenir plus fleuri ! N’hésitez pas à diffuser largement cette animation pour dire haut et fort "Non au centre commercial XXL Val Tolosa"!
A très bientôt !
7 mars 2018 12h04
Unibail-Rodamco, promoteur ou opposant aux centres commerciaux ?
Unibail, promoteur de Val Tolosa, combat le projet de centre commercial Europacity dans le triangle de Gonesse au nord de Paris.
Lors de la récente enquête publique réalisée pour la création de la Zone d'Aménagement Concertée (ZAC) de Gonesse, ZAC destinée à accueillir le centre commercial Europacity, au nord de Paris, il est intéressant de mentionner la contribution déposée par les présidents des commerçants des trois centres commerciaux d'O Parinor, Rosny2 et Aéroville.
Parmi les arguments exposés pour s'opposer à la création de la ZAC, nous relevons:
- "l'arrêt de mort des commerces existants,
- les centres commerciaux ne sont pas remplis et en saturation,
- le projet Europacity capterait du chiffre d'affaires aux équipements existants,
- un nouvel acteur détruirait le tissu économique existant et ses emplois pour créer de nouveaux
- déserts urbains,
- Europacity représente une menace cruciale pour l'emploi, mettrait en péril de nombreux emplois
- existants. Ne pas se laisser envoûter par des promesses qui ne pourraient être tenues,
- Europacity va saturer l'infrastructure autoroutière,
- Europacity est un projet destructeur pour les terres agricoles, qui va à l'encontre des engagements de
- la COP21."
Il y a fort à parier qu' Unibail-Rodamco, propriétaire du centre commercial Aéroville, a tenu la plume de ses commerçants-locataires.
Pour vous distraire tout en vous instruisant, remplacez, dans le texte ci-joint, "Europacity" par "Val Tolosa" et adaptez-le aux enseignes et données commerciales toulousaines. Vous retrouvez bien les mêmes arguments que ceux développés par notre collectif "Non à Val Tolosa" depuis plus de douze ans.
Unibail-Rodamco, promoteur ou opposant aux centres commerciaux ?
Schizophrénie commerciale ou l'art d'utiliser à Gonesse les arguments qui sont réfutés à Plaisance du Touch ...
PJ: Contribution des commerçants des trois centres commerciaux d'O Parinor, Rosny2 et Aéroville à l'enquête publique de la ZAC du Triangle de Gonesse.
19 févr. 2018 8h19
Communiqué du 19 février 2018
La Fédération des Terres pas d'Hypers www.desterrespasdhypers.fr, dont notre collectif est membre fondateur, va rencontrer
mardi 20 février, à partir de 15h, un membre du cabinet de Nicolas Hulot, ministre de la Transition Écologique et Solidaire.
Le collectif Non à Val Tolosa sera représenté par Patrick Gaborit, co-président et Jutta Dumas, porte-parole.
Nous allons rappeler la situation et l'évolution du projet Val Tolosa, mais également solliciter une prise de position claire et cohérente avec les récents engagements du gouvernement en matières environnementale, urbaine et commerciale. Dans les faits, nous constatons de flagrantes contradictions notamment le développement débridé des implantations commerciales, l'augmentation considérable du trafic routier et de la pollution atmosphérique qui en résultent ainsi que les atteintes à la biodiversité et à la préservation des espaces naturels et agricoles.
Ci-joint le communiqué de notre Fédération.
11 févr. 2018 8h02
Courrier à Monsieur Georges Méric Président du Département de la Haute Garonne
Monsieur le Président,
A l'issue de notre Assemblée Générale du 17 janvier dernier, il a été décidé de s’adresser à vous ainsi qu'à l’ensemble des conseillères et conseillers du Département de la Haute-Garonne avec la demande suivante:
L’enquête publique concernant le projet de la route RD 924 et du demi-échangeur avec la RN 124 a conclu à un avis favorable malgré des réserves et préoccupations exprimées vis à vis des modalités de financement de ces ouvrages. En effet, à ce jour, le Conseil Départemental s’est effacé du dispositif de financement au profit du promoteur Unibail-Rodamco, heureux bénéficiaire des dispositifs de l’Accord Cadre du 31 mars 2016. Ce montage financier, pour une route départementale, n’a pas cessé de nous choquer, de par son principe et surtout de par sa fragilité et son incertitude quant à sa réalisation.
D’autre part, dans le rapport final de l’enquête publique justifiant l’avis favorable, figurent des projets d’infrastructures sensés intégrer la portion de la RD924.
D’où notre questionnement:
Quant au financement:
Peut-on vraiment penser qu’un opérateur puissant du marché européen de l’immobilier commercial, poids lourd du CAC 40 et bientôt l'un des leaders sur les marchés anglo-saxons investira 8 millions d'€ avec les incertitudes qui pèsent sur son projet de centre commercial?
Car, à ce jour, plus rien ne permet de croire que le projet Val Tolosa puisse se réaliser tel que prévu par le promoteur en raison:
- de l'annulation définitive du 2ème permis de construire par le Conseil d’Etat le 28 décembre 2017,
- de l'annulation de l'arrêté préfectoral de destruction d'espèces et habitats protégés par la cour d'appel administrative de Bordeaux, le 13 juillet 2017.
Le nouveau permis de construire, délivré en août 2016 par le maire de Plaisance-du-Touch, est tout aussi fragile, notamment pour incompatibilité avec le SCoT. Nous sommes confiants quant à son annulation. Dans ce cas, quel sort sera réservé au financement privé de la RD924 ? Quel intérêt pour la commune de Plaisance de Touch à s'engager seule sur le financement du barreau routier RD924 ?
Quant à la cohérence du réseau routier:
La portion de route RD924 n’a, à ce jour, aucun prolongement planifié vers l'ouest toulousain. Allons-nous construire un boulevard menant sur un cul de sac, comme nous le connaissons dans les régions défavorisées de l’Europe du Sud avec des ponts menant nulle part !...
Il vous appartient de prévenir une telle situation. Dans l’immédiat, nous vous demandons de suspendre, voire annuler, la délibération concernant la Déclaration d’Intérêt Général de la route RD924 tant que la situation juridique et financière reste aussi incertaine.
Les pressions subies et la précipitation imposée lors de la malheureuse expérience vécue, lors de l'accord-cadre de mars 2016, devraient vous aider à faire valoir cette décision également auprès de vos collègues conseillers. Nous vous avions demandé de patienter jusqu'à l'apurement des recours juridiques, les faits nous ont donné raison.
En vous remerciant, par avance, de l’attention que vous voudrez bien accorder à notre requête, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président , l’expression de nos sentiments les meilleurs.
Les co-présidents du collectif "Non à Val Tolosa"
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