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1 févr. 2018 9h56

NON à Val Tolosa soutient la pétition : Stop à la bétonisation !

Dans le contexte actuel des inondations qui touchent de nombreuses communes de France, l'Association Agir pour l'Environnement a lancé une pétition  demandant un moratoire sur la construction ou l'extension de nouvelles zones commerciales en périphérie urbaine.

Elle fait écho à celle que nous avions lancée, dans un cadre plus restreint, avec la Fédération “des Terres pas d’Hypers” dont notre collectif est un membre fondateur.
(http://desterrespasdhypers.fr/index.php/enjeux/des-terres/)

Ayant depuis longtemps mis en avant les problèmes d'artificialisation des sols dans le projet Val Tolosa, le collectif Non à Val Tolosa s'associe à cette campagne et vous propose de signer cette pétition :
https://laissebeton.agirpourlenvironnement.org/
 
Cordialement,
Le bureau

3 janv. 2018 6h42

Communiqué du 2 janvier 2018

Les promoteurs de Val Tolosa reçoivent de la justice leur sixième carton rouge

Après l'arrêté préfectoral de destruction d'espèces protégées, annulé 2 fois, après le projet de multiplexe cinématographique annulé par la CNAC, après le référé de juillet dernier qui suspendait les travaux, la justice a sanctionné une seconde fois le permis de construire du centre commercial Val Tolosa délivré le 10 septembre 2009.


En effet, ce permis de construire, avait été annulé par la cour d'appel administrative de Bordeaux, le 14 juin 2016 et le jugement a été confirmé en cassation par le conseil d'Etat, le 28 décembre 2017.
La justice a le mérite d'être constante et claire dans les décisions rendues.


Unibail-Rodamco, promoteur de Val Tolosa, et leurs indéfectibles alliés sont, à nouveau, renvoyés dans leurs 22 mètres et reçoivent leur sixième carton rouge.


Tout chef d’entreprise et élu responsable, voire tout simple citoyen, auraient renoncé depuis longtemps ou auraient été sommés d'abandonner.
Il n'en est rien. Notre duo, entêté, est bien décidé à bétonner le plateau de la Ménude et à nous imposer ce projet inutile. En prévision de ces annulations, un nouveau permis, copié-collé du précédent, avait été délivré le 5 août 2016. Nouveau permis tout aussi fragile et encore plus entaché d'irrégularités...


Y aura-t-il un ministre, un préfet pour siffler, avec les juges, la fin de la partie ?
Nous restons donc mobilisés et vigilants pour contrer les provocations et les mises devant le fait accompli que nous subissons depuis des années. Nous réagirons à toute nouvelle apparition d'engins et installations de chantier sur le plateau de la Ménude.

A lire dans les médias:

14 nov. 2017 8h47

EXCLUSIF: selon les Echos, "Du côté de Toulouse, Val Tolosa n'est toujours pas sorti de terre et pourrait, en réalité, ne jamais voir le jour."

Ce devaient être des centres commerciaux du XXIe siècle, à la fois en plein ciel et à l’écart des métropoles, écologiques et hyper-connectés. Pour l’instant, ce sont surtout une source de déception. À croire qu’une entreprise, aussi puissante soit-elle, ne modifie pas son ADN par le simple fait de la volonté...

Encore un article de Franck Gintrand qui descend le modèle des centres commerciaux de plein champ, traité Unibail d'amateur sur ce marché et annonce le possible abandon de Val Tolosa: https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-175910-les-centres-commerciaux-a-ciel-couvert-dunibail-2129666.php

L'article est aussi disponible ici, en annexe.

 

11 nov. 2017 10h54

Des maires qui résistent ...

Et si le maire de Plaisance du Touch s'inspirait de ses deux collègues cités dans le reportage de France2.
Et si le promoteur renonçait à son projet désormais compromis et déclaré illégal par les dernières décisions de justice.
Et si le conseil municipal de Plaisance du Touch, avec les élus voisins et les citoyens, réfléchissaient à des solutions alternatives en vue de l'abandon de Val Tolosa...

9 août 2017 5h36

Val Tolosa: un centre commercial mort-né !

Face au e-commerce, les centres commerciaux sont condamnés. Ce mode de consommation est obsolète. Il est urgent de réfléchir avant d'agir. En attendant, voici une bonne lecture de la situation.

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14 juil. 2017 11h09

Le centre commercial invente le service après-vente de la France moche

Après avoir construit la «France moche» et contribué au déclin des centres-villes, l'industrie des centres commerciaux, qui se sont épanouis en périphérie, a trouvé un filon pour se sauver: généraliser le modèle aux villes elles-mêmes. Jusqu'à couvrir tout le territoire français?

Plan de Campagne est célèbre au-delà de son «rayonnement régional», qui correspond à la métropole Aix-Marseille. Celle qu'on présente souvent comme la plus grande zone commerciale de France, avec ses 25 millions de visiteurs annuels, est un symbole de cette «France moche» qui s’étale sur le territoire français et défigure les entrées de ville. Le refrain est désormais connu. Un autre discours dans l’air du temps veut que cette offre commerciale construite à l’époque du tout-voiture ne corresponde plus du tout aux attentes des consommateurs.

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Pourquoi l’échec de Val Tolosa ne présage pas forcément celui d’EuropaCity

LE CERCLE/POINT DE VUE - Il serait prématuré de voir dans le coup d'arrêt porté à Val Tolosa une mauvaise nouvelle pour le méga-complexe commercial d'EuropaCity.

Nouveau coup dur pour Val Tolosa, le projet de centre commercial en plein champ, situé sur le plateau de la Ménude, à Plaisance-du-Touch (Haute-Garonne), près de Toulouse. La cour d’appel de Bordeaux vient de confirmer l’annulation de la dérogation pour destruction d’espèces naturelles que le préfet de Haute-Garonne avait délivrée en 2013. Les opposants crient victoire et y voient un "coup d’arrêt définitif" donné au projet.

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Coup d'arrêt au projet de centre commercial Val Tolosa à Toulouse

C’est un nouveau coup d’arrêt au projet de centre commercial Val Tolosa, prévu à horizon 2019-2020 sur la zone de la Ménude, à Plaisance-du-Touch. Et une victoire pour les associations qui mènent une bataille juridique depuis 10 ans contre le projet.

Après l’annulation du permis de construire en appel en juin 2016 et l’annulation de l’autorisation du cinéma multiplexe, en mai 2017, c’est la dérogation pour destruction d’espèces naturelles, dont l’annulation vient d’être confirmée en appel. La cour administrative d’appel de Bordeaux a confirmé, ce 13 juillet 2017, l’annulation de l’autorisation de destruction d’espèces protégées et de leur habitat, délivrée le 29 août 2013 par le préfet de Haute-Garonne.

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30 mai 2017 10h04

Val-Tolosa : le rejet de l'implantation du cinéma marque un nouveau frein au projet

Pour Paris, c'est non. Après examen, la commission nationale d'aménagement cinématographique a refusé de donner son accord pour l'implantation d'un mega-cinéma, à Val-Tolosa.

Or ce cinéma - 11 salles pour 2 300 places - était l'argument qui avait "débloqué" l'épineux dossier du centre commercial Val-Tolosa, à Plaisance-du-Touch. Depuis plus de dix ans, ce projet divise. En mars 2016, le bonus "culture" apporté au dossier (composé d'un cinéma et d'une médiathèque) convainc le conseil départemental de la pertinence du projet. L'institution cède alors les routes et autorise la commune à engager des travaux de construction de nouvelles routes.

En parallèle, après l'annonce de la création de ce complexe cinématographique, Écran 7 - association qui gère un cinéma à Plaisance-du-Touch et craignant que l'implantation d'un méga cinéma à proximité perturbe sévèrement son activité - dépose un recours auprès de la commission nationale d'aménagement cinématographique.

Cette dernière lui a donné raison. Dans l'arrêté, la commission motive sa décision : "Il résulte de l'ensemble de ces éléments que ce projet ne répond pas aux exigences combinées de diversité de l'offre cinématographique, d'aménagement culturel équilibré du territoire, de protection de l'environnement et de la qualité de l'urbanisme."

Pascal Barbier, du collectif "Non Val-Tolosa", lui, est "en colère". "D'un point de vue citoyen, et pour Écran 7, je suis content. Mais dans le processus, les citoyens ont été bernés. La procédure a été menée à l'envers. Cette offre de culture a rendu le projet acceptable. En échange, ils ont donné les routes, alors qu'ils savaient que ce projet de cinéma risquait d'être refusé."

Depuis, des travaux d'aménagements ont d'ailleurs été lancés à Val-Tolosa. "Les dégâts sont faits, affirme Pascal Barbier. Et si on commence les travaux du centre commercial, ce sera la même chose".

Quid du centre commercial ? Son avenir sans un complexe cinéma est-il possible ? Le feuilleton de Val-Tolosa qui dure depuis plus d'une décennie pourrait connaître encore des rebondissements.

CHLOÉ DELBES

http://www.ladepeche.fr/article/2017/05/30/2584376-val-tolosa-rejet-implantation-cinema-marque-nouveau-frein-projet.html

29 mai 2017 9h44

Communiqué de presse du 29 mai 2017

Méga-Cinéma « Val Tolosa » : projet retoqué par Paris, citoyens bernés !

Le projet de centre commercial « Val Tolosa » lancé depuis près de 15 ans, reçoit toujours une opposition ferme et massive de la population.
Le nouveau président du conseil départemental, Georges Meric, était détenteur de l'une des principales clés au blocage du projet : les routes départementales qui traversent le plateau de la Ménude.
Ayant trouvé le projet « anachronique » (la Dépêche du 1er décembre 2015), ce dernier, toutefois, ne souhaite pas être en première ligne de l’opposition, même passive, contrairement à son prédécesseur. G. Meric en appelle donc au plus haut niveau de l’état pour débloquer la situation.
L’Élysée nomme un médiateur qui, au pas de charge, organise un simulacre de concertation. Cette opération aboutit à un nouveau projet « en meilleure adéquation avec les besoins du territoire » (communiqué du département le 31 mars 2016). La nouveauté essentielle qui convainc le président Méric : la "culture" avec un complexe cinéma de 2300 places (11 salles). Le reste des évolutions proposées n’est que cosmétique.
Le département cède donc les routes et autorise même la commune à engager et à financer, à sa place, les travaux de construction de nouvelles routes.
Nous avions dénoncé l’absurdité à construire un complexe multisalles à deux pas d’un cinéma associatif récemment agrandi et rénové, ayant montré son efficacité et sa pertinence, depuis plus de 35 ans.
Le 7 avril 2017, la commission nationale d'aménagement cinématographique décide de refuser l’autorisation d’exploitation de ce complexe cinématographique, au motif que ce projet nuirait trop gravement à l’équilibre du territoire concerné.
Exit donc le projet de méga cinéma qui avait donné sa justification à l’abandon des routes. Pour autant, les nouvelles routes sont déjà en construction et les territoires naturels et agricoles concernés sont déjà largement dévastés.
Alors que le projet d’Unibail perd, les unes après les autres, toutes les autorisations qu’il avait obtenues avec la complicité des élus locaux et des services de l'Etat, le collectif « Non à Val Tolosa » réaffirme son indignation face à de tels procédés. Rappelons que lors des deux seules consultations publiques, plus de 55% s’était exprimé contre le projet. Rappelons également qu’une grande majorité des responsables politiques régionaux se sont prononcés contre le projet de centre commercial Val Tolosa, quand ils ne se sont pas dérobés par absence de prise de position.
Il est plus que temps de sortir de cette impasse qui empêche la commune de Plaisance de se tourner vers l’avenir et son développement.


Contacts presse : Pascal Barbier

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